"Le devoir de mémoire, c'est le premier acte de résistance face à l'horreur nazie! Oublier ce qui s'est passé, c'est prendre le risque de replonger dans le fascisme".
C'est en ces termes, que Gaëtan Lelong (porte-parole du PTB à Mons-Borinage) avait terminé la visite du fort de Breendonk par notre délégation régionale, en novembre dernier, en tant que guide. Pour rappel, Gaëtan s'est spécialisé dans l'étude du fascisme et de ses conséquences, les déportations et l'extermination dans les camps de concentration (voir dans ce blog, le témoignage de son dernier voyage à Auschwitz).
C'est en ces termes, que Gaëtan Lelong (porte-parole du PTB à Mons-Borinage) avait terminé la visite du fort de Breendonk par notre délégation régionale, en novembre dernier, en tant que guide. Pour rappel, Gaëtan s'est spécialisé dans l'étude du fascisme et de ses conséquences, les déportations et l'extermination dans les camps de concentration (voir dans ce blog, le témoignage de son dernier voyage à Auschwitz).
Cette semaine, emboitant le pas aux propositions du Vlaams Belang, les partis traditionnels au nord du pays (sauf les écolos) répondent positivement en acceptant, par vote d'une loi au Sénat, d'amnistier les collaborateurs condamnés durant la seconde guerre mondiale.
Amnistier les collabos, donc les réhabiliter, c'est briser ce devoir de mémoire, c'est manquer de respect aux millions de victimes. Tout simplement scandaleux!
Le Parti du Travail de Belgique réagit: lire l'article complet dans le journal "Solidaire" de cette semaine, ou sur le site du PTB (cliquez ici).
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