jeudi 19 avril 2012

La fermeture provisoire de la piscine de Cuesmes pour cause de travaux ne doit pas pénaliser ses utilisateurs par des prix prohibitifs au Grand-Large!

Communiqué de presse PTB Mons-Borinage 19.04.2012.

Nous apprenons via la presse que la piscine de Cuesmes fermera ses portes au public du 23 avril au 30 juin 2012 au moins, afin d’effectuer les travaux nécessaires pour la remise aux normes de sécurité imposée par la Région Wallonne. Dès lors, depuis la regrettable fermeture de la piscine de Flénu, seule la nouvelle piscine du Grand Large restera en activité durant cette période sur le territoire du Grand-Mons.

C’est la raison pour laquelle le P.T.B. demande aux autorités communales, puisqu’elles en ont le droit, d’imposer à la société S&R Mons de pratiquer le même prix d’entrée que la piscine de Cuesmes pour l’accès au grand bassin, à savoir 1,85 € par baigneur au lieu du prix actuel prohibitif de 3,60 € et ce durant toute la période de fermeture de la piscine de Cuesmes.

En effet, cela nous semble la moindre des choses de ne pas exclure des joies de la natation les familles précaires qui n’ont bien souvent pas l’occasion de partir en vacances pour se détendre. Les Montois ne doivent pas être les victimes d’un partenariat privé-public décidé par la commune. Le PTB rappelle que c’est de l’argent public qui a été utilisé pour la construction de la piscine de Mons et qui continue à la financer annuellement. Dès lors, l’accès à cette piscine ne doit pas être réservé aux plus nantis mais bien à tous les Montois.
John Beugnies

Pour le P.T.B. Mons-Borinage,
John BEUGNIES.

1 commentaire:

  1. Comment les états socialise les pertes dan le sport en subsidient les infrastructures et privatise les bénéfices en considèrent le sport comme une entreprise qui doit maximiser les profits. La construction et l’exploitation des infrastructures sont souvent confiées au secteur public c'est-à-dire payer par la collectivité ; en revanche, le matériel sportif tous comme le sponsoring les droits de retransmission tv ressort souvent de la sphère privée, dan le monde le sponsoring représente annuellement plus de 600 milliards soit 60 a 70 % des dépense consenti dan le sport ,en Belgique le sponsoring sportif a un budget de plus de 4 milliards .
    « Le flux d’argents généré vont cependant principalement aux sport de haut niveau qui attirent plus de public que le sports amateur »
    Cela a des conséquences sur l’offre en infrastructure rationner pour les structure et club amateur ce qui entrainent une demande insatisfaite pour certaine activité sportives et dan certain quartier ,c’est des millier de petits club qui se débâte dan l’indigences et le contraire une surcapacité et un privilège d’accès d’infrastructure publique pour les fédération et club de prestiges comme les club de foot de 1 division « bien souvent déjà coter en bourse » . Se son souvent les clubs et fédération professionnel, et sport de haut niveau qui on le moins besoin de soutien public qui en reçoive le plus et le sport pour tous sport amateur qui reçois le moins de soutien public.
    « Si le football est un business rentable, il ne l’est que parce que les sommes énormes nécessaires pour la construction et l’entretien des stades sont payées par le contribuable, comme les centres de formation ou la sécurité assurée par les forces de l’ordre pour permettre le bon déroulement des matchs. N’importe quel business est lucratif quand on nationalise les coûts et privatise les bénéfices. La vertu du foot français n'est qu'une façade : l'Etat et les collectivités territoriales subventionnent les clubs de foot (dernier exemple en date, les stades de l'euro 2016 payés aux frais du contribuable). Pas étonnant que nos clubs soient moins endettés que dans certains pays où les clubs ont souvent construit les stades sur leurs propres deniers ou en empruntant. En France, on préfère socialiser les pertes et privatiser les bénéfices. » agora vox mardi 6 mars 2012 Robert Gil
    Le scenario est identique en Belgique les même cause génère les même conséquences.

    « se sont les club de football qui capterais la plus grande part des revenus du sponsoring .un club moyen de première division tire donc deux tiers de ces revenus du sponsoring directe et indirecte comme droits de retransmission TV ,les loges et business seats . »
    Bref le sport pour tous les club et fédération amateur se débâte pour exister et les quelques club et fédération professionnel dépense sans compter (exemple transfert des joueur dan le football, organisation d‘événement de prestige par les collectivités local et construction d’infrastructure de prestige).
    Carlos perez Fire Gym

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