mercredi 16 juin 2010

Elections fédérales du 13 juin 2010 - Résultats à Mons-Borinage

PTB+

Chambre, Mons-Borinage :

Canton

2007

2010

Evolution

Rapport

Boussu

0,75%

1,97%

+1,22%

X 2,6

Dour

0,61%

1,46%

+0,85%

X 2,4

Frameries

0,69%

1,55%

+0,86%

X 2,5

Lens

0,40%

1,28%

+0,88%

X 3,2

Mons

0,95%

2,08%

+1,13%

X 2,2

Sénat, Mons-Borinage :

Canton

2007

2010

Evolution

Rapport

Boussu

0,94%

2,54%

+1,60%

X 2,7

Dour

0,84%

1,84%

+1%

X 2,2

Frameries

0,95%

2,20%

+1,25%

X 2,3

Lens

0,55%

1,39%

+0,84%

X 2,5

Mons

1,13%

2,55%

+1,42%

X 2,6

MERCI !

MERCI !

  • Merci pour votre fidélité à la cause des gens d'abord;
  • Merci d'avoir apporté votre soutien au ptb+ lors du scrutin du 13 juin;
  • Merci d'avoir fait le choix d'un programme politique juste, en faveur des attentes de la toute grande majorité de la population, le choix du ptb+;
  • Vous êtes plus de 2X1/2 supplémentaires à voter pour le ptb+ cette année qu'en 2007, preuve d'un réel désir pour un retour à un meilleur bien-être, pour une société plus équitable.

Encore MERCI !

vendredi 14 mai 2010

2ème Marche du PTB Mons-Borinage à Boussu.


Ce samedi 15 mai 2010 se tiendra, à Boussu, notre deuxième marche, organisée par le Parti du Travail de Belgique.
Cette randonnée pédestre d'environs 9 Kms nous fera découvrir les recoins méconnus de la région.
Pas besoin d'être grand sportif pour y assister. Tout le monde y est cordialement invité.

Le point de rendez-vous au départ se tient à 16h00' à la friterie "casse-dalle", n° 190 rue Cordier à 7900 Boussu.

La participation aux frais d'organisation de 3,00€ donne droit à une boisson gratuite au retour de la marche.


dimanche 2 mai 2010

Grève à Carrefour :: "Pas question de choisir entre devenir chômeur ou travailleur pauvre"

Une délégation du PTB de Mons-Borinage s'est rendue ce vendredi 30 avril auprès du piquet de CARREFOUR "grands prés", afin de soutenir les grévistes.

(Article du site national PTB.BE):

Deux mois après l’annonce d’une très grosse restructuration des magasins Carrefour, les travailleurs s’apprêtent à faire 24 heures de grève ce 30 avril. Le point avec Irène Pêtre, secrétaire nationale de la CNE (syndicat chrétien des employés) pour le secteur commerce.

Benjamin Pestieau

« Touche pas à mon job ». Après les grèves du 27 février et du 3 avril, les travailleurs des 117 hyper et supermarchés Carrefour du pays seront en grève ce 30 avril. (Photo Solidaire, Sim Dereymaeker)

Pour rappel, au programme de la direction : des fermetures, des franchises, des milliers de pertes d’emplois. Pendant deux mois s’est déroulée une longue période dite « d’information » (selon les prescriptions de la loi Renault) pendant laquelle la direction a tenté de montrer les « bienfaits » de son plan et les syndicats ont mené des actions et cherché des solutions.

Alors, après plus de deux mois de conflit, où en est-on ?

Irène Pêtre. Et bien on commence les négociations cette semaine (le 27 avril, ndlr). Elles s’annoncent difficiles parce que le 1er objectif de la direction est de réduire la masse salariale de manière très importante. Et pour y arriver, depuis le début, elle a adopté une stratégie qui vise à nous déstabiliser et à nous diviser entre les magasins qui ferment, ceux qui vont à la franchise, ceux qui vont chez Mestdagh.

Mais ce qui est commun à tous les travailleurs de Carrefour, c’est que tout le monde va perdre du salaire. Car, selon la direction, ceux qui ne sont pas concernés par les fermetures et autres franchises – pour le moment, car ça change tout le temps – doiventchanger de commission paritaire ou trouver une façon de faire les mêmes économies salariales que s’ils changeaient de commission paritaire. Ce qui est impossible.

Dès le départ, j’aurais préféré qu’on dise non à ce plan. Bien sûr, s’il y a des difficultés on peut discuter, mais sans cette épée de Damoclès au-dessus de la tête où le patron dit que « ce plan est prendre ou à laisser sinon on s’en va ».

Vous parlez de stratégie de division et de déstabilisation. Pouvez-vous expliquer comment ça se manifeste concrètement ?

Irène Pêtre. Pendant la période actuelle de la procédure Renault, nous sommes censés apporter des alternatives au plan, donc des propositions pour sauver des magasins. Et bien entendu, chaque délégué essaie de sauver son magasin, c’est logique. Mais cette stratégie patronale divise fortement les gens. Certains travailleurs sont prêts à réduire leurs conditions de travail pour sauver leur magasin, et Lavinay, le directeur de Carrefour, ne se prive pas de l’utiliser dans les discussions. Et comme les organisations syndicales n’ont pas dit non dès le départ à cette stratégie d’analyse par magasin, on a été forcés de travailler comme ça. Je pense que c’est dommage.

Fondamentalement, quels sont les problèmes de l’entreprise ?

Irène Pêtre. Le problème de Carrefour n’est certainement pas les salaires mais bien le fait que le chiffre d’affaire a diminué de 8 % en 10 ans. Et les mesures qu’ils présentent aujourd’hui pour relancer la dynamique commerciale ne marcheront pas car ce sont les mêmes mesures que dans le passé et qui n’ont pas marché.

Mais Carrefour n’est pourtant pas en déficit ?

Irène Pêtre. C’est ça qui est complètement fou. L’entreprise veut rentabiliser ses actions. C’est normal, c’est le capitalisme. Et c’est encore plus vrai depuis que Bernard Arnault (plus grosse fortune d’Europe, ndlr) est arrivé dans le capital de Carrefour il y a deux ans. Il a eu des dividendes, mais moins que prévu. L'action a fortement baissé. Carrefour a alors appelé Lars Olofsson (ex-Nestlé), qui a composé une nouvelle équipe de direction pour augmenter les profits. Par exemple, le nouveau patron de Carrefour pour la Belgique, l’Italie et l’Espagne vient du plus grand distributeur du monde – Wall Mart – connu pour ses bas salaires et ses pratiques antisyndicales.

Depuis, le discours est le même partout en Europe : volonté de faire des économies et menaces de départ – sauf pour la France. Dans les quatre pays où Carrefour a les plus gros chiffres d’affaire, des plans de restriction et de restructuration sont en route.

Et quel est le sentiment du personnel dans les magasins ?

Irène Pêtre. La situation est très difficile à vivre pour les travailleurs. Il y a d’abord des gens très bien qui veulent que ça aille vite, qu’on exerce une pression courte et intense car les gens ne vont pas tenir des mois. Et d’autres, tout aussi bien, qui disent qu’il faut faire traîner les choses, avoir Carrefour à l’usure. Unifier les gens, ce n’est donc pas simple.

Et une fois qu’on est uni dans un syndicat, on doit dégager une stratégie commune entre les trois syndicats impliqués dans le conflit (SETCA-BBTK, LBC et CNE, ndlr). Ceci implique que chacun fasse des concessions et qu’on discute beaucoup pour accorder les violons.

Comptez-vous mobiliser au-delà de Carrefour, vu que le conflit risque de tirer tous les salaires du secteur vers le bas ?

Irène Pêtre. La CNE a plusieurs propositions. Tout d’abord, nous voulons élargir la mobilisation au moins à tout le secteur du commerce. Nous voulons faire comprendre à tous les travailleurs du secteur que ce qui se joue dans le conflit Carrefour c’est la réduction des salaires et des charges. Si Carrefour arrive à passer ses réductions de salaires en forçant un changement de commission paritaire, il n’y a pas de raison que les employeurs des autres enseignes – dans la guerre des coûts qu’ils se mènent – n’essaient pas de faire la même chose.

Par exemple, si le plan Carrefour passe, cela aura immédiatement des conséquences sur les travailleurs de Cora, qui se retrouveraient seuls dans les conditions d’une commission paritaire plus avantageuse. On est également actuellement en négociation avec Delhaize qui essaie aussi de réduire le coût des travailleurs en introduisant une rémunération au mérite et plus à l’ancienneté.

Bien entendu, nous nous opposons à cette logique, car elle n’a pas de fin. On trouve toujours des gens qui travaillent moins cher dans la concurrence. Notre objectif à nous, comme organisation syndicale, c’est d’harmoniser vers le haut.

Les syndicats annoncent une grève générale le 30 avril. Cela ne risque-t-il pas d’affaiblir l’entreprise ?

Irène Pêtre. Cela montre que nous sommes loin d’avoir dit notre dernier mot. On veut clairement exprimer le fait que ce n’est pas aux travailleurs de Carrefour de payer l’addition d’une direction qui n’a pas su faire du commerce.

Aujourd’hui Carrefour veut laisser le choix aux travailleurs d’être des chômeurs ou des travailleurs pauvres. Ils devraient se contenter de l’un ou de l’autre. Au nom de quoi? Peut-être que le jour où on mettra des limites aux bénéfices des actionnaires on pourra raisonner comme ça. Mais en attendant, je ne vois pas pourquoi on accepterait des mauvaises solutions.

lundi 12 avril 2010

Le Parti ouvrier belge (POB) a 125 ans


Le Parti ouvrier belge (POB) a 125 ans

(Cliquez ici pour visiter le site)

Les 5 et 6 avril 1885, naissait le Parti ouvrier belge. Issu du tout nouveau mouvement socialiste de l’époque, le parti a été sans aucun doute un pas en avant dans l’histoire sociale de notre pays.

Peter Mertens

(Cliquez ici pour visiter le site)

Après l’Angleterre, la Belgique a été le premier pays industrialisé au monde. De ce fait, au milieu du 19e siècle se développe une nouvelle classe : la classe ouvrière. Et celle-ci mène une existence pénible. Toute la famille travaille, Même les enfants, dès neuf ans. Il n’y a pas de jour de repos obligatoire, et on travaille de 12 à 14 heures par jour. Le salaire – quand il est payé – est maigre. En 1840, une famille de tisseurs de lin gagne 12,90 francs. 9,25 francs sont consacrés à la nourriture, 1,60 franc au loyer. La moitié des familles ouvrières n’ont qu’un logement d’une seule pièce. La mortalité est très élevée et l’espérance de vie moyenne est de 45 ans à peine.
Les conditions matérielles rendent difficile l’organisation de la classe ouvrière. Et les circonstances politiques sont plus pénibles encore. La Belgique est un paradis réactionnaire. Il est interdit d’exhiber un drapeau rouge en rue ou de « comploter » (de fonder des syndicats). La loi Le Chapelier (1791) sanctionnait les « coalitions entre ouvriers dans le but d’augmenter leurs salaires ». Entre 1830 et 1867, plus de 1 500 ouvriers ont été jetés en prison pour grève. Dans ces circonstances, organiser et conscientiser la classe ouvrière n’est pas facile. On peut tout perdre : salaire, pain, santé, vie. Pourtant, l’ambitieux mouvement socialiste parvient à s’implanter sur le terrain.

Les trois piliers du mouvement socialiste

A l’époque de la fondation du Parti ouvrier belge (POB), un groupe d’ouvriers met en place une coopérative, Le Progrès, et installe son quartier général dans la toute première « Maison du peuple » du pays, à Jolimont, dans la région de La Louvière. Avec un objectif politique : favoriser l’organisation de la classe ouvrière et enraciner le socialisme dans notre pays. Vu la cherté de la nourriture, c’est une initiative géniale. Elle répond aux besoins réels du monde du travail. En 1886, Le progrès produit 24 000 kilos de pain par jour et deviendra bientôt la plus grande boulangerie du pays. Les bénéfices sont redistribués tous les trois mois aux membres, proportionnellement à leurs achats.
A la même période, la même initiative est prise par des ouvriers socialistes gantois qui fondent l’union boulangère coopérative Vooruit. Pour devenir membre, on paye 0,25 franc d’inscription et on peut également y acheter son pain à bas prix. En 1893, Vooruit compte déjà 5 186 membres. Ses locaux deviennent le centre de la vie du parti. Des maisons du peuple apparaissent comme lieux de ralliement et accueillent les socialistes, les colporteurs du journal socialiste Vooruit, l’harmonie, le club de gymnastique, une bibliothèque, etc.
C’est principalement à travers les coopératives que le mouvement socialiste est entré dans les logements des ouvriers. Au début de la Première Guerre mondiale, le mouvement socialiste s’est ainsi implanté dans 541 communes, il possède 96 boulangeries, 172 maisons du peuple, 397 magasins et 170 000 membres.
Le deuxième pilier du mouvement socialiste, ce sont les mutualités. Elles naissent dans une période sans la moindre sécurité sociale, dans le but d’apporter du soutien financier aux ouvriers touchés par la maladie. Un certain nombre de mutualités sont gagnées au socialisme, comme la caisse de secours mutuel La Solidarité de Fayt, associée à la Maison du peuple de Jolimont. Au nord du pays, des mutualités se rassemblent pour fonder, en 1889, la Bond Moyson. Via la collaboration avec les coopératives, certains médicaments et soins médicaux peuvent être accordés gratuitement. Une sorte de Médecine pour le Peuple avant la lettre, cela répond une fois encore aux besoins directs de la classe ouvrière. En 1914, notre pays compte 250 000 mutualistes socialistes.
Le troisième pilier est le plus difficile : l’organisation en syndicats des travailleurs sur leur lieu de travail. Ici, on est face au patron. « Le capital est une force sociale concentrée, alors que le travailleur ne dispose que de sa propre force de travail. La force sociale des travailleurs ne réside que dans leur nombre. Mais la force de leur avantage quantitatif est annulée par leur morcellement », écrit Marx en insistant sur l’importance des organisations syndicales. On peut briser un doigt, pas un poing. C’est une longue histoire de chutes et de redressements. Avec privation du gagne-pain, lock-outs et peines de prison. C’est dans la région gantoise, dans le textile et le lin, que la pensée organisationnelle a pénétré le plus et que naissent les premiers syndicats. À Bruxelles, la classe ouvrière vient principalement de la petite industrie, de l’artisanat. Typographes, orfèvres, cordonniers et menuisiers s’organisent davantage en unions corporatistes. Quant à la combativité, on la rencontre surtout chez les mineurs du Borinage, mais ils restent également les plus difficiles à organiser en syndicats. Les syndicats naissent par entreprise et localement. Ce n’est qu’à la fin du 19e siècle qu’ils se réunissent en fédérations, qui annoncent les centrales actuelles. À cette époque, ils comptent quelques 50 000 membres. En 1914, à peine 7 % des travailleurs sont syndiqués.

La fondation d’un parti ouvrier indépendant, le POB

« Depuis 1847, Marx et moi-même avons toujours défendu ce qui suit : afin que, le jour décisif, le prolétariat soit assez fort pour vaincre, il est nécessaire qu’il constitue un parti indépendant, libre et opposé à tous les autres, un parti de classes et conscient de l’être également », écrit Friedrich Engels à la fin de sa vie. C’est cette conception que Marx et lui défendent au sein de la Première Internationale, première collaboration ouvrière internationale. Les premières sections locales de l’Internationale furent créées en Belgique en 1867 : Les francs ouvriers à Verviers et La Solidarité à Fayt. En 1874, le marbrier Louis Bertrand fonde à Bruxelles une première association ouvrière qui veut intervenir politiquement. La même année, Edmond Van Beveren, peintre en bâtiment, mène des efforts identiques avec succès en région gantoise.
Après diverses tentatives, le POB est finalement fondé en avril 1885. Le parti apparaît comme un groupement de syndicats, de mutualités, de coopératives et de cercles d’étude et de propagande. Il naît comme un parti ouvrier indépendant, même cela est fermement discuté. On finit par conclure : « Nous formons avant tout un parti de classe et nous devons nous en tenir à ce caractère. » Pour y arriver, on fait d’importantes concessions. Aucun groupe ne peut être exclu, le mot « socialisme » est consciemment laissé de côté dans le nom du parti, il y a une aversion pour la théorie (« Cela ne m’intéresse pas », déclare Edward Anseele) et il y existe une grande crainte à l’égard de la lutte des classes.

Malgré son réformisme (la croyance de pouvoir changer et adoucir le capitalisme), la fondation du POB est incontestablement un pas en avant dans notre histoire sociale. Il contribuera à l’organisation de la classe ouvrière en tant que classe, il œuvrera activement à la centralisation syndicale au sein d’un seul syndicat, il brisera la pensée conservatrice dans le pays et il créera à tout le moins de l’espace pour la diffusion du socialisme.

(Cliquez ici pour visiter le site)

vendredi 19 mars 2010

CONFERENCE : "PECROT, MONS, HAL... QUAND LE RAIL DERAILLE..."


Chers amis,

Nous vous invitons à notre prochaine conférence

"Pécrot, Mons, Hal...
Quand le rail déraille...".

Cette conférence se tiendra le:

Jeudi 25 mars à 19h

Salle La Braise,
65 rue de Bouvy
à La Louvière

Avec la présence de :
  • Camille Dieu (pour le PS, députée fédérale)
  • Olivier Saint-Amand (pour Ecolo, vice-Président du parlement de la Communauté française et député wallon),
  • Jean-Paul Procureur (pour le CDH, sénateur, invité),
  • Jean-Claude Challe (pour le PTB, ex-permanent CGSP)
  • Cheminots, pour témoigner.

Le chemin de fer est aujourd'hui en plein changement. Vinck, Schouppe, puis les 3 administrateurs y ont chacun été de leurs restructurations.

Pourquoi y a-t-il encore des morts sur le rail en 2010 ? Les responsables ont-ils tiré les leçons des accidents précédents ? Quel est le rôle des responsables politiques ?

Afin que ce terrible accident ne devienne pas une opération "oubliettes", nous vous invitons à une conférence où des responsables politiques de différents partis viendront expliquer leur point de vue.

Des cheminots viendront témoigner de leurs conditions de travail et comment ils voient la sécurité de l'intérieur de la SNCB.

Cette catastrophe a touché bon nombre de voyageurs et cheminots.
Comment maintenir la pression pour que soit effectivement investi l'argent nécessaire à un chemin de fer sûr ?

Vos questions et propositions seront les bienvenues.

Organisation: Centre d'Action Culturelle La Braise Pour tout renseignement 0476/20 87 90 paf 2 euros (allocataires sociaux 1 euro)

Ed responsable L Lemmens, Rue de Bouvy, 65, 7100 La Louvière

Cliquez sur l'image ci-dessous pour télécharger le tract:


CE N'EST PAS A NOUS DE PAYER LA CRISE - Résolution du PTB



"CE N'EST PAS A NOUS DE PAYER LA CRISE!"

Le Conseil National du Parti du Travail de Belgique (PTB) a produit une résolution avec son analyse de la crise internationale, des mesures d’économies et des germes d’un changement. « Une fois que les gens trouvent en eux-mêmes la force, ils sont en mesure de faire de grandes choses. »