samedi 29 décembre 2012

Le Père Noël n’est pas une ordure!

Au PTB nous pensons, comme bon nombre d’habitants de Mons-Borinage, que l’augmentation du prix du sac poubelle blanc à 1 € dès le premier janvier 2013 est une mesure injuste et malvenue.
 
 
Pourquoi ?
 
1/ Parce que cette augmentation va de nouveau toucher principalement les plus fragiles d’entre nous c’est-à-dire les allocataires sociaux, les pensionnés, les travailleurs à temps partiel, etc.
 
Par exemple un chômeur chef de ménage, suite aux décisions prises par le gouvernement Di Rupo, verra son allocation mensuelle passer à terme à 1.069,38 euros/mois et sera de nouveau puni avec l’augmentation du prix du sac poubelle. Lorsqu’on vit en dessous du seuil de pauvreté, chaque euro compte. Ceux qui ont pris cette décision n’ont certainement pas de problèmes de fin de mois.
 
 
2/ Parce que depuis que l’intercommunale est devenue HYGEA soit un partenariat public-privé, le service rendu à la population laisse à désirer et le personnel est mis sous pression. Nous l’avons tous constaté : des rues sont oubliées, le ramassage n’est plus aussi régulier,...
 
La principale raison à cela est qu’une société privée doit faire des profits et est prête à augmenter le prix du sac ou à réorganiser le ramassage pour y arriver, même si c’est au détriment d’un bon service rendu
 
 
Pour le PTB, le ramassage des immondices doit rester 100% public.
 
 
3/ Parce que les dépôts sauvages dont l’assainissement coûte très cher sont de plus en plus nombreux depuis l’introduction des sacs payants. Il y a là un lien indéniable (pour preuve vous ne trouverez jamais de sacs blancs dans des dépôts sauvages).
Augmenter le prix du sac ne résoudra certainement pas le problème, au contraire.
 
Le PTB propose qu’une quantité annuelle de sacs-poubelles soit offerte aux foyers montois sans augmentation de la taxe immondices comme cela se fait dans des communes avoisinantes.
 
 
Vous désirez nous soutenir ?
Prenez contact par téléphone au  0475/223460

lundi 24 décembre 2012

Réponse du PTB Mons à la déclaration de politique générale 2013-2018 de la majorité.

Ce 17 décembre avait lieu le premier "vrai" conseil communal de la Ville de Mons. Un débat sur la déclaration de politique générale 2013-2018 a eu lieu. Voici l'intervention du PTB qui en a profité pour faire quelques propositions :

Merci Monsieur le Bourgmestre,
 
Nous avons lu attentivement votre programme de législature pavé de bonnes intentions. Nous y avons relevé des points positifs pour les Montois comme par exemple : favoriser le commerce de proximité dans le Grand-Mons et l’arrêt des projets commerciaux de grande ampleur qui justement détruisent ce commerce de proximité. Mais aussi l’amélioration de l’éclairage public qui, pour lutter contre le sentiment d’insécurité, est beaucoup plus efficace et moins coûteux que des caméras. Monsieur le Bourgmestre empêché d’ailleurs avait dit lors d’un débat sur notre chaîne régionale que les caméras n’était pas la solution. Apparemment, la majorité a changé d’avis puisque de nouvelles caméras seront placées prochainement. D’autres éléments positifs à relever : le ramassage des objets encombrants une fois par an qui avait été injustement supprimé sans diminution de la taxe immondices, la protection des espaces verts et la création de nouveaux jardins communautaires, l’ouverture d’une nouvelle crèche, la mise à disposition de locaux pour les soirées estudiantines.

Cependant, au PTB, nous regrettons cette vision néolibérale des grandes villes en général qui se font concurrence pour attirer les touristes, les promoteurs immobiliers ou habitants à haut pouvoir d’achat et cette vision néolibérale de la Ville de Mons en particulier qui veut continuer à investir dans des projets de prestige et dans le même temps laisse des quartiers populaires livrés à eux-mêmes. On pense notamment au Domaine d’Epinlieu et à l’ancienne commune boraine de Flénu où, à part une magnifique salle CALVA, il n’y a plus rien : plus de poste, plus de banque ni même de distributeur de billets, plus de piscine alors que le programme de la législature précédente faisait de la rénovation de la piscine de Flénu une priorité (une promesse trahie donc). Une ligne de bus a même été supprimée à Flénu. Pour nous, il est essentiel de revaloriser les quartiers populaires avec l’installation de services de proximité communaux. Une commune à deux vitesses, le PTB n’en veut pas.

En matière d’emplois, le PTB ne croit pas que c’est en investissant dans des projets de prestige censés attirer les touristes que l’on va donner un travail stable aux milliers de jeunes qui attendent leur premier contrat d’embauche.
La Ville pourrait cependant intervenir pour la création de milliers d’emplois publics liés à la création d’une société publique de construction et de rénovation de logements. Une société nécessaire au vu des 1200 familles en attente de logement selon le collectif « Sans toit mais ensemble ». En atteignant des taux de 30% de logements publics comme c’est le cas aux Pays-Bas et dans les grandes villes allemandes, les locataires ne seraient pas que des allocataires sociaux mais également des travailleurs actifs et des indépendants. Cela permettrait à cette société publique de s’autofinancer par des versements de loyers raisonnables.

En matière de sécurité, le PTB ne pense pas que la solution au problème de la criminalité de proximité passe par plus de policiers et plus de caméras. Pas seulement parce qu’on a jamais vu une caméra voler au secours d’une victime mais parce que la raison principale de cette criminalité n’est pas le manque de policiers mais le manque d’emploi des jeunes et le sous-financement de notre enseignement. La sécurité est complètement liée au bien-être social. C’est ce chemin-là qu’il faut suivre !

En matière de propreté, le PTB ne pense pas qu’en augmentant le prix du sac poubelle blanc de 0,87 € à 1 €, on va améliorer la situation, au contraire. Les dépôts sauvages ont considérablement augmenté depuis l’introduction du sac payant ce qui coûte horriblement cher à la Ville. Pour preuve, vous ne trouverez jamais de sac blanc dans des dépôts sauvages. Le PTB propose qu’une quantité annuelle de sacs gratuits sans augmentation de la taxe immondices soit offerte aux familles comme cela se fait dans des communes environnantes non sans succès.

En matière d’action sociale, nous pensons comme la majorité que multiplier les petites infrastructures sportives dans les quartiers est une bonne chose à condition que cela soit accompagné d’un encadrement sérieux. On pense notamment aux animateurs de quartier.

En matière de santé, la médecine accessible à tous est aussi une priorité pour le PTB. C’est la raison pour laquelle nous sommes pour des maisons médicales qui proposent une médecine gratuite.

En matière de mobilité, nous nous battrons pour un élargissement de l’intra-muros au Grand Mons en commençant par mettre tous les étudiants montois sur le même pied d’égalité en proposant ce service gratuit aussi aux étudiants de UCL-Mons et de l’HELHa.

En matière de logement, pour le PTB, garantir l’accès à un logement de qualité pour tous, passe par la création d’une société publique de construction et de rénovation de logements. Seul un nombre élevé de logements publics pourra faire pression sur un marché locatif privé non régulé.

En matière de sport, nous pensons que fermer une piscine de proximité et abordable financièrement comme l’était celle de Flénu pour ouvrir une piscine de standing loin des quartiers populaires et inaccessible aux familles précarisées n’est pas le bon exemple à suivre. C’est d’autant plus injuste que bien souvent, ces familles n’ont pas les moyens de partir en vacances. Le sport pour tous, c’est aussi et surtout le sport pour toutes les bourses. C’est la raison pour laquelle nous nous battrons pour la réouverture de la piscine de Flénu, avec les Flénusiens. Une pétition est d’ailleurs en train de circuler et nous vous la remettrons Monsieur le Bourgmestre, en temps voulu.

Enfin, en matière de culture, nous regrettons cette vision élitiste de ce que peut être la culture. La culture populaire, ce n’est pas que du divertissement, tout le monde est capable de réfléchir à son niveau. Pour le PTB, la culture est un moyen d’émancipation des travailleurs à travers les prestations artistiques, un moyen d’acquérir un esprit critique de la société dans laquelle nous vivons afin de la changer vers une société des gens d’abord et pas du profit.

Merci de m’avoir écouté.



jeudi 29 novembre 2012

Quelques dates à retenir!


lundi 3 décembre 2012-18h00-Hôtel de ville de Mons-Grand Place-

Conseil communal et prestation de serment de notre conseiller John Beugnies

vendredi 14 décembre 2012-18h30-local du PTB à Jemappes-

Formation "Marx pour les Nuls": Insécurité, délinquance, violences, libérations conditionnelles...quelles sont les solutions du PTB?


lundi 17 décembre 2012-18h30-Hôtel de ville de Mons-Grand Place-

Conseil communal


17, 19, 21 décembre 2012 et 7, 9, 11 janvier 2013-Mons-Cour de Justice-

Procès des Mésanges


et aussi...
Chaque mercredi, de 17 à 19h, dans notre local, permanence des Ecrivains Pour Le Peuple. Il est conseillé de prévenir de votre visite. Nous pouvons aussi, si le jour ne vous convient pas ou si vous n'avez pas les moyens de vous déplacer, aller à votre rencontre. Fixez rendez-vous avec nous!











samedi 24 novembre 2012

Ecrivains Pour le Peuple


Un service d'écrivains publics existe depuis le mois d'août. Chaque mercredi, une permanence est organisée afin de recevoir, bénévolement et dans la discrétion, les personnes qui se retrouveraient en délicatesse avec l'administration. Problèmes de loyers, de factures énergétiques, lettre à un avocat, séparation, problèmes financiers, problèmes fiscaux,... Notre équipe est là pour vous écouter et vous guider. Vous n'êtes plus seul face au système.

Si vous même rencontrez des problèmes dans votre quotidien, n'hésitez donc pas à prendre rendez-vous avec nous.

Pour les autres, nous vous demandons de nous faire connaître auprès de ceux qui en ont besoin!

Les permanences se tiennent le mercredi de 17 à 19h, dans notre local.
5, avenue du plan incliné-7012 Jemappes
tel.:065/26.96.57
Il est préférable de prendre rdv-Nous pouvons aussi nous déplacer!
Contactez-nous!




Attention: En raison d'une action de Solidarité envers le Peuple Palestinien, ce mercredi 28/11/2012, Grand Place de Mons, 17h, la permanence sera exceptionnellement fermée.

samedi 17 novembre 2012

Retour sur la journée de Solidarité du 14/11/2012


Le PTB était présent lors de l'action organisée par la FGTB Mons-Borinage qui a rassemblé
plus de 500 manifestants dans les rues de Mons.
Symboliquement, le parcours débutait devant les bureaux de l'Onem pour rejoindre le C.P.A.S. de Mons.
La FGTB a voulu ainsi montrer le chemin qu'emprunteront beaucoup de travailleurs sans emploi à cause de la dégressivité des allocations de chômage imposée par le gouvernement Di Rupo.

Sandra Goret (secrétaire régionale FGTB Mons-Borinage) :
" Dans la région de Mons-Borinage, il n'y a qu'une offre d'emploi disponible pour 29 demandes. Le taux de reconversion après licenciements collectifs et individuels est passé d’une moyenne de 70% il y a 5 ans à 66% en 2011, et frôle, en chiffre provisoire, le seuil des 50 % en 2012. Chaque jour apporte son lot de licenciements et envoie les travailleurs au chômage où leurs allocations sont rabotées en-dessous du seuil de pauvreté, et cela soit disant afin de les « responsabiliser » ou de les « activer » dans la recherche d’ emploi...
L’austérité nous plonge dans une spirale sans fin d’appauvrissement généralisé. Ça ne marche pas, mais on continue quand même...
Ce qu’ils veulent, ce n’est pas sauver l’euro. C’est nous imposer leur modèle ultralibéral "
 


John Beugnies (PTB Mons) :
" Comme Parti de gauche, nous ne pouvons accepter que les travailleurs avec ou sans emploi payent une crise dont ils ne sont en rien responsables. Aujourd'hui, on nous répète sans cesse que la crise, c'est à cause d'un problème compétitivité ou c'est à cause du coût du travail alors qu'en réalité elle a été causée par les spéculateurs, les banquiers et les millionnaires. C'est eux qui doivent payer cette crise, pas les travailleurs. "

mardi 13 novembre 2012

14 novembre 2012

Le PTB appelle ses membres à soutenir les actions syndicales
de ce 14 novembre
 
Le PTB Mons-Borinage sera sur le terrain, comme déjà dimanche à Ford Genk, tout au long de cette journée de Solidarité.
 
« Nous saluons la journée d'action commune européenne de ce 14 novembre et nous appelons tous nos membres à y participer dans leurs entreprises. Face à une Union européenne qui étrangle les peuples sous l'austérité mais vient au secours des banques, une riposte commune du monde du travail s'amorce. Le 14 novembre est dans ce sens une journée historique », se réjouit Raoul Hedebouw, porte-parole du PTB.
 

Nous sommes devant un choix de société. Nous n’avons pas d'autre option que de résister :

- Nous sommes contre les taxes contre l'homme de la rue, comme la hausse de TVA. Mais nous sommes pour imposer les plus riches avec une taxe des millionnaires (qui rapporterait 8 milliards) et la suppression des intérêts notionnels (4 milliards).

- En diminuant les salaires directs et indirects, nous enfoncerons encore plus le pays dans la crise. Aussi, nous nous opposons à toute atteinte à l'indexation. Y compris via une « neutralisation » de l'index pour la hausse de la TVA. Toucher à ça, c'est toucher à l'index.

- Pour l'emploi, le gouvernement doit arrêter de supprimer des emplois publics. Et baisser les cotisations sociales fera augmenter les bénéfices et ne créera pas d'emplois. Ce qui est nécessaire, c'est une loi Ford qui rende plus difficile les licenciements, au lieu d'assister fiscalement les multinationales.

(Service de presse du PTB)

 



 
 

lundi 12 novembre 2012

Appel de la FGTB-Mons 14 novembre 2012


Le 14 novembre, la FGTB est aux côtés des travailleurs avec ou sans emploi !!!
Les travailleurs d’aujourd’hui sont les demandeurs d’emploi de demain !!!
Nous sommes tous des travailleurs européens !!!
L’austérité, ça ne marche pas!
 
La FGTB Mons-Borinage vous donne rendez-vous dès 10h30 le 14 novembre 2012 place des Archers à Mons (face à l’ONEM).
Un cortège partira en direction du CPAS rue de Bouzanton à Mons.
Cette action représentera la direction donnée aux travailleurs licenciés et sacrifiés par les mesures gouvernementales et tout le respect qu’on leur attribue.

Accueil par le CPAS qui sera également en manque de moyens humains et financiers pour accueillir et répondre au mieux à ces mesures.
Prise de parole de la Secrétaire régionale.

Duferco, Ford Genk, Photo Hall, Dow Chemical, HP, Arcelor-Mittal, Staples, Colgate, Philips…
D’un côté on jette des travailleurs qui ont tout donné au sein de leur entreprise, de l’autre on les considère comme des ex- travailleurs « qu’il faut motiver rapidement à retrouver un emploi » par la réduction plus rapide de leurs allocations de chômage !!!
Les travailleurs ont cédé des acquis sociaux au nom de la compétitivité, on leur a promis que leurs efforts porteraient, qu’ils deviendraient plus attractifs ; ils ont vécu la crainte de perdre leur emploi, par des menaces continuelles et ou des mensonges organisés,…
Ainsi, les allocations de chômage des chefs de ménage diminueront par phases de 12 %, celles des isolés de 17,5 % et celles des cohabitants, de 40 %.
Quelle logique ? On diminue les allocations pour que les demandeurs d’emploi dégotent plus rapidement un nouveau job alors que dans certaines de nos régions, 1 emploi est disponible pour 29 demandeurs.
Le taux de reconversion après licenciements collectifs et individuels est passé d’une moyenne de 70% il y a 5 ans à 66% en 2011, et frôle, en chiffre provisoire, le seuil des 50 % en 2012.
Chaque jour apporte son lot de licenciements et envoie les travailleurs au chômage où leurs allocations sont rabotées en-dessous du seuil de pauvreté, et cela soit disant afin de les « responsabiliser » ou de les « activer » dans la recherche d’emploi.
L’austérité nous plonge dans une spirale sans fin d’appauvrissement généralisé. Ça ne marche pas, mais on continue quand même.
On veut nous imposer un nouveau « Pacte Budgétaire » pour nous forcer à instaurer la « règle d’or », une austérité renforcée et sans fin.
Ce qu’ils veulent, ce n’est pas sauver l’euro. C’est nous imposer leur modèle ultralibéral:
-des salaires de misère et des travailleurs flexibles, soumis et précarisés
-des syndicats sans pouvoir de négociation
-un appauvrissement des chômeurs et des autres allocataires sociaux
-des pensions, une protection sociale et des services publics privatisés.
Nous voulons des emplois!
Ce n’est pas d’austérité dont nous avons besoin, mais d’emplois et d’une fiscalité juste.
Il nous faut un véritable plan de relance de notre économie, de nos industries.
Il nous faut des investissements dans les grandes infrastructures, l’industrie et la recherche, pour aller vers une économie moins énergivore.

Il nous faut :
-une Europe au service des gens et non pas au service des banques
-une croissance durable et des emplois de qualité pour tous
-une véritable protection sociale et pas la charité
-des services publics de qualité
(ce qui ne va pas de pair avec les mesures annoncées sur le non remplacement des agents des services publics)
1 remplacement sur 5 départs au niveau fédéral.
1 remplacement sur 3 départs au niveau régional.
Ces mêmes services publics (CPAS) qui devront assurer l’accueil est le financement des mesures prises au niveau des allocations de chômage. Dégressivité, suppression d’allocations à l’horizon 2015).

On ne réduira le poids de nos dettes publiques que par une fiscalité juste, par la relance de l’économie, par la demande et par la mutualisation des dettes, pour construire une véritable solidarité européenne.

dimanche 4 novembre 2012

Soutenez les victimes de l'incendie des Mésanges !


Soutenez les victimes de l'incendie des "Mésanges" !
 
 Le procès démarre enfin devant le Tribunal Correctionnel à Mons,
le mercredi 21 novembre à 9 h.

L'ancien bourgmestre de Mons, Maurice Lafosse, n'échappera pas au Tribunal Correctionnel pour le drame des "Mésanges". L'incendie de cet immeuble social, à Mons, avait fait 7 morts en 2003.
Maurice Lafosse, qui présidait la SORELOBO, la société de logement social propriétaire de l'immeuble, avait introduit un pourvoi en cassation contre son renvoi devant le Tribunal.
Un pourvoi qui a été rejeté récemment.
Maurice Lafosse ainsi que son beau-fils, Victor Zdanov, directeur-gérant de la société à l'époque des faits, seront donc bien jugé pour homicide involontaire par défaut de prévoyance et de précaution. Maintenant que tous les recours sont épuisés, le procès va pouvoir s'ouvrir devant le Tribunal Correctionnel de Mons.
Une première audience d'introduction est programmée le mercredi 21 novembre à 9h devant la troisième chambre du Tribunal.
 
 Une présence forte est souhaitée car il s'agit bel et bien du vrai démarrage du procès !

 
 
Adresse: Cours de Justice Mons-Tribunal Correctionnel
Rue des Droits de l'Homme 1- 7000  Mons